Sujet: L'intimidation, ça touche tout le monde. Mar 20 Nov - 0:45
Une histoire de longue date.
L'impact d'une hiérarchie social.
Le réveil fut brutale. James et Éles courait dans l'appartement pour je ne sais plus torp quoi. N'ayant aucune envie d'être l'arbitre danc cet querelle, je me leva de mon lit pour aller enfiler des shorts en jeans bleu foncé et un chandail dévoilant mes épaules de couleur noir avec des motifs bleu ciel et blanc. L'habillage ne fut pas très long puisque je dormais en sous-vêtements la plupart du temps. Plus aucune cachette pour mes trois colocataires après tout.
Je ne me préparais pas de petit déjeûner. J'allais plutôt prendre en chemin un baguel nature avec fromage à la crème et un Smooth-tim aux fruits des champs au Tim Hortons tout près de l'université. L'école n'était pas la joie depuis que j'y suis. On croit qu'avec la beauté ont peut être populaire, mais non. Ici, c'est la force qui joue. Il faut être fort autant mentalement que physiquement pour survrire dans cette jungle. C'était l'enfer. Il ne me restait plus que 2ans avant d'avoir terminé et j'en étais à ma deuxième année. L'école avait commencer depuis deux semaines déjà et je fus la cible de Bernard et de Madelaine, deux étudiants à tête forte, me manipulant autant qu'ils le peuvent. Ils étaient eux aussi des lycans. Même si j'ai la capacité de me battre contr eeux, je ne voulais rien savoir. Je ne voulais, pour rien au monde, éclater de colère devant pleins d'étudiants ou encore de me battre avec un humain. Je finirais comme la dernière fois; un jeune homme dans mes bras, ensanglanté par mes morsures. Pas question que cette scène ne se reproduise. Alors, j'encaissais, en silence.
La journée débuta calmement. Aucun des deux imbéciles n'étaient venus à ma rencontre. À la pause du dîner, Bernard et Madelaine m'attendaient à mon casier. Plus aucun étudiant circulait dans les corridors et ils en profitèrent pour m'accoter contre les casiers. Bernard se colla à moi, frôlant ses lèvres sur le bout de mon nez. J'aurais voulus lui arracher ses lèvres avec mes crocs qui poussèrent dans ma bouche close. Je ne fis rien de celà et entendais les ordres des deux batards:
- Tu sais, le mec dans notre cours de Math', Quentin Schmitt ? Va lui arracher son dîner et jette le dans la poubelle. Ne manque pas de l'insulter, ce petit français de merde.
Cette idée me déplaisais fortement, car Quentin subissait parfois les envies de Bernard de faire chier les autres. Ayant peur de me faire tabasser par leur bande, j'exécutais l'ordre. Je dévala le corridor en grande enjambé pour me rendre à la cafétéria. Je repéra Quentin assit près de l'entré et me diriga vers lui. D'un geste impolie, je pris son dîner sous son nez et le jeta aux poubelles à quelques pas. Je me retourna vers lui avec un regard presque sans vie, sachant très bien que j'étais observée. Nos regards se croisèrent et je le dévia à ce moment-là, regardant ailleurs.
« Ton odeur et celle de ton lunch étaient insupportable. J'ai au moins jeter une petite partie du problème. »
Dans une démarche piteuse, je me retourna et le quitta en direction des casiers. Je regrettais ce que je faisais subir aux autres, mais je ne voulais pas revivre ce que j'avais vécue auparavant. Il en était hors de question. De toute façon, bientôt, Bernard et Madelaine me lâcheront les basquettes, car ils ont trouvés un meilleur appât que moi, qui commençait à me rebéller contre eux. Je ne pourrais plus regarder Quentin lorsque je serais dans mon cours de Mathématique à présent. Après ce que je lui avais fait, il allait me détester, comme la plupart des gens autour de moi. Mais à quoi bon, au moins, je ne fais de mal à personne physiquement.
Quentin Schmitt
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Sujet: Re: L'intimidation, ça touche tout le monde. Mar 20 Nov - 2:13
Victime un jour, victime toujours?
Vous savez... Parfois la vie nous réserve des surprises, c’est vrai! Ce matin, alors que j’étais assis tranquillement dans la cafète de l’université tout en mangeant mon déjeuner, une fille, qui m’est vaguement familière, est venue, tout bête comme ça, jeter mon gouter dans la poubelle en m’insultant! Putain! Mais qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça? C’est vrai quoi, je ne lui aie jamais parler et en plus je ne la connais même pas… Mais le pire dans tout ça c’est qu’elle me dit que je pue? Non mais quoi encore!? Je la regardais, d’un regard interrogateur, et elle semblait honteuse. Mais si elle avait honte, alors pourquoi est-ce qu’elle m’avait dit cela? Elle s’était sauvé aussi vite qu’elle était apparue, tête basse et épaules courbées. J’aurai bien aimé lui répondre «désoler de ne pas sentir le chien mouillé…» mais son état piteux était très démonstrateur. Ça sentait l’obligation, le complot….L’intimidation. Non mais! Merde! Je ne savais pas que l’intimidation était encore pratiquée au sein des universités… J’avais donc décidé de laisser tomber, de me contenter d’hausser les épaules et de ricaner.
«Ha ha ha! Merci je n’aimais pas ce sandwich »
Ouais bah, finalement c’était tout de même méchant et je regrettais mes mots. J’avais été mesquin et je me sentais mal à l’aise. Et sur ces pensées, je me levais de ma chaise et sortais de la cafétéria. Je marchais tranquillement dans les couloirs, en direction de mon casier, alors que je passais devant un autre couloir. Puis soudainement je m’arrêtais. Je fronçais les sourcils et reculais de trois pas. Oh mais qui vois-je? Bernard et Madelaine et ricanaient dans leurs barbes. J’avais entendu mon nom faufiler dans le fil de leur conversation. Ah je vois maintenant, elle était obliger de venir m’insulter. Oh les méchants! Ayant découvert l’identité des troubles fêtes je n’allais pas les laisser s’en tirer comme ça. Continuant mon chemin, je me dirigeais maintenant vers mon prochain cour. Mathématique.
Il était quinze heures et j’étais entré dans la salle de cours. La fille qui m’avait intimidé, un peu plus tôt, était assise tout au fond de la salle. Une place était libre à coter d’elle et je m’y installais. Elle s’était raidie. Sans doute qu’elle avait peur que je me venge pour l’incident de tout à l’heure… Mais non, mon idée était toute autre. Je me sur le coter, de façon à ce qu’elle m’entende.
«C’est Bernard et Madelaine qui t’ont obligé à venir me faire chier?»
Je ne lui en voulais pas, pas le moins du monde. Je la regardais passivement, un sourire cacher dans le creux de mes lèvres, je voulais l’aider à sortir de cet enfers et je voulais en même temps me venger, non pas uniquement pour moi mais aussi pour tous ceux qui ont déjà été victimes de leurs dires et actions.
Invité
Sujet: Re: L'intimidation, ça touche tout le monde. Jeu 22 Nov - 0:56
Non...Non...NON!
Ne t'adresse pas à moi...
Madelaine et Bernad riaient de bon train en ce moquant de Quentin. Je trouvais celà injuste, mais je ne voulais pas être imposer dans un autre bain de sang provoquer par nulle autre que moi-même. La colère, je ne la gère pas très bien. Maudit soit le sang des L.Burn ...
À mon casier, je pris mes effets personnelles pour me préparer à aller à mon cours de mathématique. Mon coeur débattait et mon cerveau me disais de déguerpir à la maison pour ne pas croiser Quentin Schmitt. J'avais honte de moi et je pensais sérieusement à me rebeller contre Madelaine et Bernard, quitte à me battre contre eux. Cette histoire allait trop loin à présent et avec mûre réflexion, je faisais du mal autour de moi, même si je ne voulais pas en faire. C'était vachement compliqué comme situation. Ah, pourquoi ne pas arrêter tout ça ?
Malgré moi, je me rendis à mon cours avec des légers tremblements. Je m'assis au fond, à l'arrière pour être camoufler le plus possible. Mon regard fixait l'extérieur et intérieurement, je m'imaginais différentes situations si jamais j'osais défier les deux lycans. Soudainement, reniflant l'air, je ressentis l'odeur de Quentin. Mon regard alla se poser directement sur lui en moins d'une seconde. Je me raidis presque aussi dûrement qu'une planche de bois. Il était là... Assis à côté de moi... Que me voulait-il ? allait-il m'insulter ? ... J'étais prête à encaisser. Rester silencieuse et endurer. Puis, la voix de Quentin retentit.
«C’est Bernard et Madelaine qui t’ont obligé à venir me faire chier?»
Mon corps se détendit légèrement. Ma bouche se transforma en une ligne en pensant à Bernard et Madelaine. Je soupira en constatant qu'il comprenait que je ne l'avais pas fait de mon plaint gré. Hochant la tête pour lui répondre, je me suis mise à regarder autour, prenant légèrement peur qu'un ami de leur bande m'entende. C'était l'enfer comme pression et je n'étais pas la seule à le subir, malheureusement.
« Tu devrais t'occuper de tes affaires » lui dis-je bêtement avec un soupçon de honte.
L'observant un moment en silence, je voyais qu'il compatissait avec moi. Baissant la tête pour regarder mes cahiers, j'ouvris l'un d'eux et me mis à écrire un message avec ma plume bleu-turquoise préféré. À ce moment-là, je prenais un risque de me faire pincer, mais c'était un début à l'affrontement.
« Tu ne devrais pas me prendre en pitier, sinon ils s'acharneront sur toi aussi... »
Je passais le message à Quentin avec substilité. Avoir tenté d'être une héroïne en aidant une fille se faisant intimider par Madelaine et Bernard n'avait été qu'un cauchemard. Se ramasser dans un corridor après la baignade avec les deux lycans et trois de leurs amis n'est qu'une seule des péripéties qui m'est arrivée avant de demander pitier et de leur servir d'esclave. Le reste reste personnel... Intime ... Dont j'ai été victime ... Mais celà n'a pas été loin heureusement, mais les circonstances qu'il y avait eu m'a traumatisé à jamais ... C'était extrème ... Mais je devais rester à cet Université, car je ne pouvais pas m'offrir un autre logis ailleurs et payer en plus les études. Bref, tout ça n'est qu'un pure cauchemard dont j'ai besoin d'être réveiller.
Quentin Schmitt
Messages : 13 Date d'inscription : 19/11/2012
Sujet: Re: L'intimidation, ça touche tout le monde. Jeu 22 Nov - 1:57
Du danger? AH! Je me ris du danger, ahahaaaa!
Elle s’était raidie quand je lui avais parlé de Bernard et Madelaine. Je l’avais senti. Je savais qu’elle ne voulait pas me voir, avec les conséquences de l’incident de tout à l’heure, mais ça m’était égal… Je voulais leur donner une bonne leçon, je n’ai pas peur d’eux! Je suis grand et je peux me débrouiller, je sais me défendre. Mais! Mais… elle avait hoché, c’était bel et bien eux… Je le savais!
Un petit sourire narquois se dessinait sur mes lèvres. Le sourire que je tentais de cacher depuis le début de la séance venait de prendre le dessus. Mais mon sourire s’accentua quand elle m’avait répondu ceci : «Tu devrais t’occuper de tes affaires»
Oh là c’était la cerise sur le gâteau, je jubilais. C’était la chose qu’il ne fallait pas dire, c’était le détonateur sur la bombe, c’était la cible de l’assassin, et j’étais l’assassin.
« Mes problèmes…. Sont aussi les tiens, je n’accepterais pas qu’une fille comme toi se fasse dominer par ces deux salauds qui puent le cabot trempé. Puis je remarquais qu’elle avait saisi un bout de papier et à l’aide de son stylo à bille bleu ciel, elle griffonnait quelques mots. Puis elle me le passait, doucement. Je lisais son écriture soignée avec des lettres courbées et rondes. Une écriture typiquement féminine. Je lisais ces quelques mots qui m’interdisaient de la prendre en pitié par peur qu’ils s’acharnent sur moi… Mais c’est quoi ce délire? Je fronçais les sourcils, j’agrippais mon sac, l’ouvrit et cherchais désespérément un stylo. Une bonne minute avait découlé avant que j’en aie saisi un. Je le débouchais puis je me mis à écrire sur la feuille.
«Si tu crois que je te prends en pitié, c’est faux. Je trouve ça tout simplement triste de se faire manipuler par des rapaces par peur de se faire dévorer. De plus, ils se sont déjà acharnés sur moi… Donc moi aussi j’ai le droit d’entrer dans la danse! Eh puis… J’adore m’attirer les ennuis, surtout avec cette meute de sauvageons.»
Je dois l’avouer, je déteste Bernard et sa complice. Je les déteste en un plus haut point que si je n’avais pas eu une si bonne âme, il y aurait eu un bon moment que ces deux là se seraient retrouvés noyer au fond du lac ou encore dévoré par mes amis piranhas… Je voulais ma vengeance et elle allait sonner.
Invité
Sujet: Re: L'intimidation, ça touche tout le monde. Jeu 22 Nov - 2:32
T'es qui toi ? D'où sors-tu ?
Jouer les héros ne t'apporteras rien...
« Mes problèmes…. Sont aussi les tiens, je n’accepterais pas qu’une fille comme toi se fasse dominer par ces deux salauds qui puent le cabot trempé. »
C'est-ce qu'il me répondit lorsque je l'envoya balader. Étonné par sa réaction, je me mis à le regarder, quelques instants, pour déchiffrer les sentiments sur son visage. Avait-il dit cabot trempé ? Savait-il qu'ils étaient lycans ? Je doutais un peu, mais je me disais qu'il avait employé ces mots par hasard. Soupirant, je pris une feuille de papier pour lui écrire. Je lui transmit la feuille le plus substilement possible et deux minutes plus tard, environs, il me renvoyer mon papier.
«Si tu crois que je te prends en pitié, c’est faux. Je trouve ça tout simplement triste de se faire manipuler par des rapaces par peur de se faire dévorer. De plus, ils se sont déjà acharnés sur moi… Donc moi aussi j’ai le droit d’entrer dans la danse! Eh puis… J’adore m’attirer les ennuis, surtout avec cette meute de sauvageons.»
Levant les yeux pour le regarder avec surprise, je secoua doucement la tête par désespérance. Je le plaignais d'avance. Comment pouvait-il être aussi courageux face à environs une vingtaine de personne "travailant" pour Bernard et Madelaine ? Je l'admirais dans un sens, mais celà m'étais étrange, presque impossible.
Me remettant à écrire sur le papier, je me mis parfois à penser à mes mots, puis à me dire que je devais me rebeller contr eux une bonne fois pour tout en commançant par écrire sur ce fichus papier.
« Tu crois pouvoir les affrontés seuls ? Ne me fait pas rire s'il te plaît. »
Je lui repassa la feuille et remarqua que le professeur était entré dans la classe et salua tout le monde. Il résuma le cours d'avant. Inentéressé par le discours du professeur sur les fractions, je me tourna vers Quentin en me penchant le plus prêt possible du bord.
« Sérieusement... Comment crois-tu pouvoir t'y prendre avec eux ? Tu ne sais pas à quel point ils peuvent êtres dangereux ... » lui dis-je avec la voix qui cassait.
Le relookant du regard, j'attendais avec impatience sa réponse. Il était suicidaire ou quoi ? Il n'était qu'humain après tout, d'après moi, enfin je crois, et il veut affronté des lycans ? Il est F.O.U.
Quentin Schmitt
Messages : 13 Date d'inscription : 19/11/2012
Sujet: Re: L'intimidation, ça touche tout le monde. Ven 23 Nov - 20:23
Under the sea!
Lorsqu’elle lue mon message elle leva la tête et me regardait avec surprise. Je lui souriais toujours béat, j’imagine qu’elle ne pouvait croire qu’un gars comme moi, tout maigrichon, pouvait se mesurer à eux. Mais ce n’est pas eux les ‘’spéciaux’’ à Sunny Bridge, une nouvelle espèce vient d’arriver en ville…. MOUHAHAHAHAHHA… Ouais bah j’aurais bien dit ça si j’avais été un méchant dans un vieux film.
Je parlais de manière assez évidente, lorsque je parlais des deux troubles fêtes en faisant allusion à ce qu’ils étaient, mais elle ne semblait pas comprendre que je savais qu’ils n’étaient pas normaux et que moi non plus. Mais elle… L’était-elle? M’étais-je trompé? Pourtant son odeur et sa manière de lever la tête quand quelqu’un en particulier entre dans la pièce, me laisse à croire qu’elle aussi n’est pas normale. Mais… C’était étrange comment elle était surprise. D’un coter peut-être qu’elle le savait et voulait cacher le secret de la meute et d’un autre coter peut-être qu’elle était incapable de repéré des anormaux… Qui sait?
Puis elle me dit une phrase qui me faisait bien rire. Les affrontés seuls? Bien sur que je le ferais s’il le faut! Je me retenais pour ne pas éclater de rire pour ne pas interrompre le maitre d’école qui expliquait l’algorithmique de je ne sais plus trop quoi…. Je respirais un grand coup et retenais mon souffle puis, une fois bien concentrer, je la regardais.
«Alors je ne te ferrais pas rire.»
Puis elle me passait sa feuille, je gribouillais ces quelques mots :
«J’ai entendu dire qu’ils allaient à la mer après l’école…. C’est là que je leurs donnerais une bonne leçon. Et puis, ils ne sont pas les seuls à être ‘’dangereux’’ tu peux me croire x) Tu veux venir te baigner avec moi? :3»
Puis je lui glissais la feuille.
Invité
Sujet: Re: L'intimidation, ça touche tout le monde. Ven 23 Nov - 20:56
Prions ensemble...
Pour la journée de demain.
Mes mots l'amusaient ? Il se moquait de ce que je lui disais ? Bah, qu'il crève. Je l'aurais prévenu de ne pas embêter le clan de Madelaine et de Bernard. S'il veut vraiment les affronter, il est compètement fou. Il ne sait pas ce qu'il l'attend le pauvre. Quoiqu'il est différent des autres, si je me fis à mon instinc. Il puait le sel de mer, ce qui m'irritais le nez. J'avais opté pour l'option deux de mes hypothèses: il est allé se baigner et il ne sait tout simplement pas laver. L'autre hypothèse était qu'il soit une créature. Mais bon, ne pas exagérer les choses.
Quentin se pencha vers moi en me regardant dans les yeux. Je fis de même, mais sans me pencher vers lui. Le sel de mer me faisais presque éternué et j'aurais l'aire d'une folle, encore une fois. J'écouta la voix du jeune homme.
«Alors je ne te ferrais pas rire.»
Relevant un sourcil je l'observa en train de gribouiller sur ma feuille de papier. J'admirais son audace à tel point que j'avais pitié de lui après-en. Je ne pouvais tout simplement pas le laisser crever dans les mains de ce clan démodé. Retrouvant ma feuille, je lus son message:
«J’ai entendu dire qu’ils allaient à la mer après l’école…. C’est là que je leurs donnerais une bonne leçon. Et puis, ils ne sont pas les seuls à être ‘’dangereux’’ tu peux me croire x) Tu veux venir te baigner avec moi? :3»
J'eus un frisson d'horreur qui me parcoura le dos. La phrase "Et puis, ils ne sont pas les seuls à être ‘’dangereux’’ tu peux me croire x)" me faisais peur. Puis, je réalisa sa demande. D'un regard légèrement désespéré, mais surtout défiant par cette demande presque perverse, j'ouvris la bouche pour lui répondre, mais décida de la refermer avant de prononcer un mot. Je soupira longuement en y réflichissant comme il faut. Puis, j'écrivis sur ma feuille:
« T'iras te baigner tout seul ! J'te fais pas confiance... Mais ouais, je viens. »
Je lui redonna la feuille en ne le regardant pas. Je regardais à présent le professeur en écoutant la fin de semaine qu'il avait passé dans les Laurentides où il avait eut besoin d'utiliser les mathématiques pour payer je ne sais pas trop quoi. Repensant aux paroles de Quentin, je ne pouvais pas le laisser se battre seul. Je savais ce qu'il allait se passer et je ne voulais pas avec sa mort sur la conscience.
Quentin Schmitt
Messages : 13 Date d'inscription : 19/11/2012
Sujet: Re: L'intimidation, ça touche tout le monde. Mer 28 Nov - 16:41
I do what i want!
Lorsqu’elle lut mon message, elle leva la tête et me regardait avec surprise. Je lui souriais toujours béa, j’imagine qu’elle ne pouvait croire qu’un gars comme moi, tout mégrichon, pouvait se mesurer à eux. Pourtant… Pourtant! Je ne suis pas si faible que ça… Enfin je crois. Mais lorsqu’elle l’avait lue, elle semblait, d’un autre coter, perplexe et offusquer. Je me demandais bien pourquoi. Lorsqu’elle me donnait le papier, je n’y voyais pourtant rien de mal, sauf le fait qu’elle ne me faisait pas confiance. Je fronçais des sourcils, pourquoi est-ce qu’elle ne me faisait pas confiance? Avais-je écrit quelque chose de déplacer? Je ne crois pas non… Je relisais la conversation, par deux fois, puis j’en déduis que c’était, ma demande d’aller se baigner avec moi! Mais pourtant… Je ne comprends pas… Je lui lançais donc un regard interrogateur, et puis tant pis, l’important c’est qu’elle vienne m’aider, un coup de patte est toujours le bienvenu.
J’écrivais ma réponse alors que j’entendais, en arrière-plan, une voix masculine m’appeler. Elle m’était étrangement familière. Je levais les yeux, puis je m’aperçu que c’était le maitre d’école qui voulait mon attention.
-Monsieur Schmitt! Dit-il dans un élan d’impatience.
Je regardais le tableau puis je remarquais qu’il voulait la réponse de son équation.
«Oh pardons monsieur, j’étais trop absorbé dans l’équation que je ne vous avais pas entendu…»
-Et je peux voir votre réponse?
«À votre guise monsieur»
Le professeur quittait son pied d’escale et venait me rejoindre à ma hauteur, il jetait un coup d’œil sur le bout de papier. Il lisait attentivement, le papier en question était notre conversation. On pouvait très bien y voir l’écriture bleue et les lettres bien soignées et rondes d’Amélia. Mais le professeur en revanche, n’y voyait que du feu! Il ne voyait que ce que je voulais qu’il voit : la réponse de sa question. Il souriait, heureux et satisfait qu’un élève écoute bien ses cours, puis il me donna une légère tape sur l’épaule et retourna à son cours.
Je jetais un coup d’œil sur ma voisine puis le professeur annonce une pause. Je chiffonnais la feuille en boule et la jetais dans la poubelle en lancer de basket.
«On se rejoint après les cours?»
Invité
Sujet: Re: L'intimidation, ça touche tout le monde. Mer 28 Nov - 23:24
Prions ensemble...
C'est bientôt l'heure de la vengence.
J'étais tellement concentré sur notre conversation que je ne faisais plus attention au mon de qui nous entourait. Une voix familière gronda dans la classe en appelant un étudiant à mainte reprise. Je secoua doucement la tête pour sortir de mes pensées et constata que c'était Quentin que l'on appelait. Par chance, ce n'était pas moi qui était prisonnière de la question de l'enseignant. Il s'adressa à mon voisin en lui posant une question. Confiant, le français lui répondit qu'il avait la réponse. Le professeur s'approcha de nous et regarda notre conversation avec un sourire satisfait. Je me raidis, le poil légèrement hirissé en voyant que Quentin offrait une lecture croustillante sur ce que l'on écrivait. Je remarqua que le professeur fut content et repartit. Relevant un sourcil, je ne comprenais pas trop ce qui venait de ce passer. Était-il lui aussi une créature ? Voilà pourquoi il n'a pas peur de la meute de lycan ! Ah, je comprends tout !
Quentin me regarda aussitôt que le professeur annonça la pause. Tout en tirant vers la poubelle en un tire à 3 points, il me demanda si nous allionsn ous rencontrés après les cours. Tout ça allait devenir très intéressant. Affichant un sourire en coin en observant la poubelle où il venait de jeter notre papier, je lui répondis.
« Aux escaliers, devant l'école. » dis-je en me retournant pour le regarder.
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La fin de ma journée fut longue. Je m'impassientais de savoir qui était réellement Quentin Schmitt. Je ne m'aurais jamais douté qu'un autre élève dans mon "genre" me cotoyais à chaque jours. Je ne cherchais pas, car j'avais d'autre chat à fouetté que de jouer les espionnes pour trouver d'autres personnes comme moi. Tout ceci devenait intéressant et ce soir, j'aurais une vengence sur la meute de Bernard et de Madelaine.
Comme prévue, je me rendis aux escaliers à l'entré de l'école. Je m'y assis en reniflant doucement l'air. Temps chaud et légèrement humide, idéal pour faire trempette. Peut-être aurais-je dû accepté son invitation ? Après tout, qu'elle risque courrais-je ? J'avais la guérison, la rapidité, les crocs et la puissance. Je savais quand même très bien me défendre. Donc, pourquoi ne pas risqué. J'attendais Quentin avec impatience, prête à assister au champ de bataille.
Quentin Schmitt
Messages : 13 Date d'inscription : 19/11/2012
Sujet: Re: L'intimidation, ça touche tout le monde. Lun 3 Déc - 15:37
Oh yeah! Tonight is the night
Elle m’avait donné le signal que j’attendais. Devant les escaliers après les cours. Oh yeah! J’avais tellement hâte à ce soir que je frissonnais d’excitation, je voulais tellement donner une leçon à ces gros chiens sales puants. Après que le cours de mathématiques eu été terminer, la journée avait été d’une longueur épouventable.C’est vrai! J’étais tellement énervé, exciter, impatient, que la journée elle, faisait exiprès d’être lente et ennuyeuse. Pourtant j’avais rien fait. Juste planifier un plan machiavélique de vengence à ceux qui l’avaient bien mériter.C’est tout…. Rien de plus, voyons.
J’étais donc assis dans mon dernier cours de la journée, tête penchée, front sur le bureau, yeux fixant mes pieds. Je soupirais. Désespérais. Dormais. Je n’écoutais point mon cours de philosophie, pas besoin d’entendre une morale qui pourrait me faire changer d’avis, oh que non! C’était décider depuis maintenant…… 4 heures je crois. Après l’heure de la pause, je savais qu’il ne restait que 45 minutes au cours, 45 minutes avant d’être libre! Les 45 minutes les plus longues de ma vie oui…. Une fois qu’elles eues sonnées, je me levais en vitesse, rangeait mes effets personnels et partis comme un coup de vent.
Je la rejoignis aux escaliers devant l’école comme promis, elle m’attendait déjà. Puis après quelques salutations nous partirent pour la plage. Nous échangères quelques mots, parlions de tout et de rien.Elle devait maintenant se douter de quelque chose c’était imanquable. Puis après quelques minutes nous arivèrent à destination. Bernard et Madelaine étaient déjà là. Bernard nous avais sentis arriver, il tournait la tête et m’avait regarder d’un regard mauvais.
«Hey vous! Fichez le camps cet endroit est a nous!» «Ah ouais?» Je respirais l’air et le regardais «Pouah! Ça pus la pisse ici!»
À première vue, il me détestait, bah ça c’était clair, mais il me détestait vraiment et beaucoup plus que ce matin, il voulait ma peau et il bouillonnais de rage.
«Il faut être lâche pour obliger une fille à venir faire le sale boulot à ta place… Tu sais quoi? Tu n’es qu’un gros chien sale puant et ignorant, la plage ne t’appartiens pas et on a autant le droit de venir ici que toi. J’attrappais le bras d’Amélia et je dépassais la hauteur de Bernard. «Heille! Dégage d’ici ou sinon c’est moi qui vais venir te chercher!»
«Ah ouais? Eh bien viens me chercher!» Je regardais Amélia et lui souriais. «Tu viens?» Je n’attendais pas sa réponse, j’avais trop hâte d’aller dans l’eau alors, je courais vers la mer, retirais mon chandail et plongeais dans l’eau salée.
Mes mains se palmèrent, une nageoire dorsale poussa et mes pieds s’allongèrent au point de devenir transparent et se collèrent ensembles, ils formaient maintenant un tout, une nageoire. Des écailles poussaient sur ma nageoire et des branchies dans mon cou. C’est ce que j’étais…. Un Triton.
Invité
Sujet: Re: L'intimidation, ça touche tout le monde. Lun 3 Déc - 17:08
Prions ensemble...
C'est l'heure de la vengence.
Mon attente ne fus pas longue, environs 15 minutes au total. Quentin semblait excité d'aller à la rencontre de Barnard et de Madelaine tendis que pour ma part, j'étais nerveuse. Je ne savais pas du tout à quoi m'attendre. Je ne le comprenais pas du tout, mais j'allais le comprendre dans quelques minutes. Je sentais en lui quelque chose qu'un humain normal n'a pas. Une force, mais laquelle, je ne sais pas. J'espérais seulement qu'il ne me mettrait pas en danger.
Nous arrivâmes à la plage en moins de 17 minutes. Ils étaient bien là, le clan des délaisser. Je regrettais à ce moment-là la protection de mes deux anciens clans. Je soupira en commençant légèrement à tremblotter. Je passa mes mains sur mes bras. Si seulement je pouvais plaindre le vente froid de la mer, mais j'avais le sang chaud 24 heures sur 24. J'avais peur, oui, mais j'avais envie, tout comme Quentin, de leur arracher la tête. L'énergie que dégagait mon compagnon me donnait le courage de me trouver devanrt eux, sans reculer. Ils nous avertissaient de déguerpir, mais on n'écouta pas les avertissements. Quentin alla plonger dans l'eau salé et je compris, finalement, pourquoi il sentait autant le sel de mer. Il était une sirène, une créature assez puissante lorsqu'on se retrouve face à eux dans l'eau. Ne jamais suivre ce genre de créature, car ils sont imprévisible. Je ne l'avais suivis qu'un peu, me retrouvant avec de l'eau à mes genoux. J'étais légèrement paniqué, mais je sentais que j'étais en sécurité avec lui. Je me tourna vers Bernard et Madelaine. Seulement Madelaine se trouvait dans l'eau avec quelques autres lycans, dans leur apparences humains, qui se beignait dans l'eau.
« Que la fête commence. » dis-je en voyant Bernard charger vers moi.
Il se jeta sur moi et je tomba dans l'eau. Au moment où je touchais le fond, je me tranaforma en énorme loup blanc. Je me posa sur mes quattres pattes et remarqua que Bernard était également en loup. Un loup noir. Des grognements s'échangèrent, mes oreilles se baissèrent et je charga sur le loup noir, étant plus grand que moi de 30 centimètres environs. Des morsures s'échangèrent dans le cou, sur les pattes. Ma fourure blanche était pleins de taches de sang rouge-bourgogne. Bernard avait le dessus et m'envoya sur le rebord de l'eau. Je me releva avec misère et décida de reculer un peu plu profond dans l'eau. Je jetais un rapide coup D'oeil à Quentin. Je voulais qu'il noie Bernard.
Je reculais en grognant sur Bernard pour le provoquer. Celà fonctionnait très ben. Il se retrouva, les pattes à l'eau avec moi. Je me jeta sur Bernard et la bataille reprit de plus belle. Me ramassant la plupart du temps le corps dans l'eau et Bernard par dessus moi, je trouva quand même la force de pousser le lycan vers Quentin. Je soupira et me transforma en humaine. Je me laissa tomber sur le dos, le corps à moitier dans l'eau, la tête sur le sable mouiller par les nombreuses vagues. J'avais plusieurs blessures, morsures, grafignures, mais je guérrisais doucement. J'espérais que tout ceci se termine une bonne fois pour toute.
Quentin Schmitt
Messages : 13 Date d'inscription : 19/11/2012
Sujet: Re: L'intimidation, ça touche tout le monde. Mar 18 Déc - 19:43
❦ Je continuerai ma chasse jusqu’au fond de l’eau❦
J’attendais fébrilement sous l’eau. J’espérais qu’elle comprenne ce que j’avais fait. Elle m’avait suivi mais lorsqu’elle s’arrêta avec l’eau à la hauteur des genoux je compris qu’elle avait compris. La vibration de l’eau qu’elle faisait avec ses genoux m’indiquèrent qu’elle était un peu paniquée. C’est vrai que les sirènes peuvent se montrer dangereux parfois… Mais moi je ne suis pas ce genre de gars là, enfin… Habituellement. Mais pas aujourd’hui! La bataille avait déjà commencer, j’attendais, j’attendais qu’elle le rapproche plus afin que je le prenne en surprise. Il croyait probablement que j’étais un gars normal qui allait juste se baigner et que je ne voyais rien, mais c’était complètement faux. Lorsqu’il s’était transformé je fuis surpris de sa grandeur, il était énorme putain! Mais bon je n’allais pas me décourager, c’était quand même moi qui nous avait foutus dans ce tas de merde.
Puis la lutte se termina, Amélia était sortie de l’eau et Bernard était toujours dans l’eau, il restait là, trop fier croyant qu’il avait gagné. Moi je m’approchais tranquillement, tel un caméléon qui chasse la mouche, j’étais discret et presqu’invisible dans l’eau. Puis je fis quelques clapotis, ici et là, afin de l’attirer dans de l’eau plus profonde. Il avait mordu à l’hameçon, il se métamorphosa dans sa forme humaine et se dirigea directement sur moi. Silence. Puis VAM, il disparu sous l’eau, je venais de le tirer par les jambes. Lorsqu’il me vu, il fut apeurer pour quelques secondes puis il se re-métamorphosa en loup, il était certes plus gros de moi, mais j’étais dans mon élément. Je l’avais tirer tellement loin dans les profondeurs qu’il ne pouvait même pas lever la tête pour respirer. Et puisqu’il était plus fort, je le persuada qu’il ne savait pas nager. Et justement, il l’oublia.
Par peur, il commençait à se débattre, il me griffais, me poussais, me mordait, il faisait tout pour survivre alors qu’il mourait. Cependant… Je m’étais promis que plus jamais je ne noierais quelqu’un… Donc je regardais Bernard qui était terrifier et qui était sur le point de se noyer et je le ramenais à la surface, il allait s’en souvenir pendant longtemps. Qu’il considère cette lutte comme un avertissement. Je le sortis de l’eau en le trainant sur le sable. Doucement mes branchies se refermèrent, mes doigts palmés redevinrent normaux et ma queue elle avait disparue au fur et à mesure que mes jambes ne touchaient plus l’eau, voyez-vous, mon corps lorsqu’il ne touche pas l’eau dans sa totalité ne se transforme pas, c’est uniquement la partie touchée qui l’est. J’étais couvert de blessures certes mais je souriais tout de même. Je flanquais un coup de poing sur le torse de Bernard afin que celui-ci recrache l’eau de dedans ses poumons. C’est ce qu’il fit, et il reprit lentement ses esprits, je le regardais.
«Considère cette tentative comme un avertissement.»
Sujet: Re: L'intimidation, ça touche tout le monde. Jeu 20 Déc - 1:34
Prions ensemble...
C'est l'heure de la vengence.
J'étais étendue sur le sable en fixant le ciel, le souffle à moitié couper. Mes blessures se refermaient peu à peu, me laissant la chance de recouvrer mon énergie. Je m'accouda sur le sable, relevant uniquement le haut de mon corps pour regarder Quentin d'amuser avec cet imbécile de Bernard. Je vis Madelaine et d'autres compagnons s'avancer dans l'eau pour venir en aide à leur chef. J'afficha un sourire en coin assez mesquin et me leva. Je me retransforma en louve tout en courrant vers eux. Mes grosses pattes firet éclabousser l'eau autour de moi, attirant l'attention de Madelaine et de deux autres hommes. Ils se transformèrent en loup. 3 pieds de hauteur environs. Moins gros que l'alpha. À la même hauteur que moi. J'allais pouvoir m'amuser.
Je me lança sur Madelaine et sur les deux hommes. Nous fûmes quelques tonneaux dans lesquels j'en profitais pour les mordres et les griffés. Mon pelage blanc était taché de sang dû à la bagarre. Les deux loups accompagnant Madelaine s'enfuyèrent. Les bousculades cessèrent à ce moment-là.
« Que la fête commence. » dis-je en voyant Bernard charger vers moi.
( À FINIR )
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L'intimidation, ça touche tout le monde.
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